A 99°C, l’eau ne bout pas, c’est le degré en plus qui fait la différence

Écrit par La rédaction le 16 avril 2024
A 99°C, l’eau ne bout pas, c’est le degré en plus qui fait la différence

Il y a des lois physiques immuables. Ces choses incontestables qu’il est vain de chercher à contester. L’eau bout à 100°C. 

C’est comme ça. Que ça vous plaise ou non.

Par conséquent, et ne cherchez pas à ergoter, à 99°C, l’eau ne bout pas !

C’est ce petit degré en plus qui fait toute la différence. C’est ce dernier degré qui va déclencher le processus.

Et bien chez Reezocar, c’est exactement la même chose. 

Si vous êtes en sous-régime, les lignes ne bougeront pas. Et toute la marche de l’entreprise en sera affectée. 

Notre credo c’est qu’il faut être à 100% en permanence pour que les choses avancent, que les ventes se concluent, que les projets se concrétisent et que Reezocar poursuive sa croissance !

Il s’agit avant tout de tout donner, de s’engager avec intensité dans notre projet collectif. 

À 100%, les lignes vont bouger, on va pouvoir changer le monde. Et c’est un effort collectif !

Etre le meilleur, à chaque instant

Quelle est la recette pour être le meilleur à chaque instant ? En étant à l’écoute de ses collaborateurs, de ses clients. L’ouverture d’esprit et la soif d’apprentissage nous permettent au quotidien d’être meilleur.

Au sein de l’équipe, pour être le meilleur, il faut être prêt à entendre les remarques faites par son manager car il a pour seul but de nous accompagner à atteindre cet objectif.

Aujourd’hui manager du Reezoshop, notre agence de Lille-Seclin, après 6 ans chez Reezocar, Jonathan a gravi tous les échelons de l’entreprise. Il l’a rejointe en 2016 après quelques années dans le commerce de détail. Conseiller commercial, il est vite devenu manager puis directeur commercial avant de se voir proposer une nouvelle aventure dans la première agence ouverte par Reezocar dans les Hauts de France. Pour lui, Reezocar est une entreprise à dimension humaine, une boîte où chacun n’est pas un numéro mais plutôt un véritable acteur de la croissance et un élément essentiel. Il pratique un management de proximité et participatif et fait partie des ambassadeurs de Reezocar, même hors du cadre professionnel. Reezocar est une belle aventure professionnelle, je le dis à tout le monde, conclut-il avec le sourire.

“C’est facile à dire pour moi”, dit-il, “car je suis heureux et fier d’être au sein de Reezocar, du coup je me sens épanoui ce qui me donne l’envie de donner le maximum chaque jour pour l’entreprise qui m’a fait confiance en 2016”.

Comment être le meilleur à chaque instant ? Cette question résonne dans toutes les entités de Reezocar.  Pour Stanley (plus connu sous le nom de Stan), côté IT : “nous appliquons un principe, “Done is better than perfect”. En clair c’est un process continu, A/B tester, changer, retester, rechanger et trouver la bonne formule à la fin.

Ça rejoint aussi la notion de vitesse : ne pas faire les choses parfaitement parce que le temps qu’elles soient parfaites, elles sont déjà obsolètes. Donc mieux vaut être prêt dans les temps même si ce n’est pas parfait, quitte à apporter des améliorations lors de V2 ou V3, etc… Dans un univers start-up, on apprend en même temps que l’on fait. L’itération est importante pour cet apprentissage. Il faut aller vite car les besoins changent rapidement. Et l’efficacité maximum doit être au rendez-vous!

La vitesse d’exécution

L’agilité c’est le quotidien de Reezocar ! En grandissant, déclare Marine, nous avons gardé cette agilité. On en a bénéficié et on l’a exécutée après la prise de décision de constituer un stock de véhicules. Par ailleurs, depuis le rachat de Reezocar par le groupe Société Générale, avoir un grand groupe derrière nous nous a offert une importante capacité de financement. Pour créer le stock, nous avons eu besoin d’investisseurs solides, et ce fut le cas. Une belle montée en puissance !

Sacha abonde dans le même sens. “Une des forces de Reezocar réside dans sa capacité à anticiper. Il y a 2 ans on pouvait vendre des véhicules de collection import US qui n’étaient pas à nous. Deux ans après, nous avons l’un des plus gros stocks de véhicules en vente en France, nous reconditionnons 100% de nos véhicules et nous avons complètement changé notre offre. Il faut se rendre compte du pivot que c’est. Pour une boîte comme la nôtre, c’est comme si l’on disait que Renault avait complètement changé de segment en 2 ans : au lieu de vendre des voitures populaires, ils vendent des voitures de luxe. L’évolution de Reezocar est similaire. Un virage stratégique important !

Alors évidemment ce type d’évolution radicale n’est pas envisageable en 2 ans pour un paquebot comme Renault et c’est plus facile pour nous qui sommes de taille plus modeste. Mais c’est quand même un changement radical pour la manière dont nous vendons et présentons nos offres, notre positionnement, notre discours, ou notre argumentaire… Absolument TOUT change : les outils, les process, la façon de livrer les véhicules, les services que nous proposons… C’est un changement à 180 degrés pour toute la boîte dans un laps de temps très court”. 

Si la rapidité d’exécution est une caractéristique des start-ups, c’est très sensible chez Reezocar. Jonathan évoque quelques situations où cette rapidité a été un atout important pour l’entreprise :

– Le 13 mars 2020: premier jour d’arrêt du pays, l’activité est principalement digitale. En 24h, on a déployé tous les outils chez tous les commerciaux et membres de l’équipe ADV.Avec des volontaires pour mettre à disposition leurs véhicules et d’autres pour préparer les colis (ordinateur, souris, claviers, second écrans,…). Le 14 au soir, tous les employés étaient prêts à reprendre leur activité dès le lundi 16 mars.

– Lors de l’ouverture du premier point de vente physique, inauguré en juin 2022, Reezocar était en partenariat avec un autre groupe. Le 31 janvier 2023, le partenariat devant se terminer, le futur lieu n’était pas totalement défini. On a eu connaissance du nouveau lieu d’implantation assez tardivement. Mais le 1er février 2023, on était déjà installés dans nos nouveaux locaux, prêts à vendre sur le nouveau parc automobile. On a fait un super mois en travaillant de façon presque artisanale avec très peu d’outils, mais avec motivation et efficacité!

Stan est directement concerné par la vitesse d’exécution, indispensable pour accompagner techniquement le développement de Reezocar. “En tant que start-up, nous étions pressés par le temps et parfois par l’argent. On travaillait beaucoup et cela nous a été rendu ! La capacité de lead de Vincent, notre CTO à l’époque, était, à mon sens, un autre facteur important, allié à une bonne cohésion avec les Leads de chaque équipe. Le fait d’avoir eu un bon leadership à tous les niveaux de la boîte, nous à permis d’être rapides et de trancher rapidement. Le fait d’être dans une petite structure a favorisé la rapidité de circulation de l’information, en plus de notre travail et de notre implication”. 

Laurent Fabre (que nous appellerons par son surnom, LF), notre CTO depuis 2021, a sa propre vision de cette rapidité d’exécution. La réalité, dit-il, c’est qu’il faut que les gens prennent leurs engagements. C’est comme ça que tu obtiens de la vélocité. Souvent, les gens sont partagés. Sans objectifs chiffrés, ils n’arrivent pas à faire coïncider engagements et responsabilités. On pourrait penser que les programmeurs passent facilement par l’écrit pour l’ensemble de leurs réflexions, mais ce n’est pas nécessairement le cas. Le rôle du manager est de les ramener dans une culture de passation, de compagnonnage où l’on prend des décisions sur le terrain à la lumière des données. À l’entrée de l’école de Pythagore, il était inscrit “Nul n’entre ici s’il n’est géomètre”. Il faut pouvoir mesurer. Une fois que tu sais mesurer, tu peux avoir droit au chapitre. Tu décides d’une valeur à attribuer à tes idées. C’est pareil, chez Reezocar, il faut pouvoir mesurer pour avoir voix au chapitre”.

François-Guillaume, notre CFO, est, lui aussi, convaincu que la vitesse d’exécution est un sujet clé dans une startup. Il distingue deux temps : un temps court et un temps long. Le temps court est celui dans lequel la start-up excelle : le fameux “move fast and break things” de Mark Zuckerberg. Avoir une intuition, la tester, la mettre en œuvre, itérer, pivoter, réagir. Les meilleures start-up sont organisées autour de ces principes, très bien décrits par Eric Ries. Il ne faut toutefois pas sous-estimer le temps long, celui de la définition et de la mise en place d’une culture d’entreprise, la documentation des processus, l’implémentation d’outils internes intégrés et d’un système de reporting efficace. 

Puis vient le temps de la vitesse d’exécution sur tout ce qui est tech, digital, ventes, et ces transformations qui doivent être opérées avec réactivité et célérité. 

Exiger plus pour planter plus de drapeaux

Planter plus de drapeaux… Pour Laurent, CEO* et co-fondateur de Reezocar, il y a deux choses fondamentales derrière cette expression.

Il y a d’une part l’idée de l’excelsior, le superlatif du mot latin excelsus, qui signifie plus haut, plus élevé. Cela induit une certaine idée du dépassement de soi pour arriver au sommet et planter son drapeau, mais également avancer vers le sommet suivant. C’est toute la philosophie de Reezocar : aller chercher plus loin, et ne pas se satisfaire des acquis. C’est un véritable esprit de conquête !

C’est aussi la construction d’une vision, qui permet de bâtir des plans stratégiques, des roadmaps et des plans de développement. C’est la concrétisation d’une vision stratégique claire avec des objectifs ambitieux et une réflexion sur les moyens pour y parvenir. Avoir par exemple l’objectif de planter un drapeau sur la Lune pose immédiatement la question des moyens qu’on va mettre en place pour y parvenir. L’histoire n’est par ailleurs jamais finie. On doit toujours se demander quels sont les prochains drapeaux que l’on veut aller planter !

Dans l’objectif de croissance de Reezocar, tous les ans, nous définissons des ambitions assez fortes. La confiance des équipes dans le management et le fait de constater que chaque année nous avons atteint nos objectifs permet à tous les collaborateurs de Reezocar de croire en la réalisation de ces ambitions élevées.

En premier lieu, on fixe l’ambition, puis les étapes à franchir pour y arriver.

Ce n’est pas parce qu’on le dit qu’on le fait mais si on ne le dit pas, on ne risque pas de le faire !

C’est pourquoi, il faut toujours croire en l’histoire de la boîte !

*A noter: Après 10 ans passés au sein de l’entreprise, Laurent Potel a quitté la direction de Reezocar pour se lancer dans de nouveaux projets entrepreneuriaux. Depuis le 1er février 2024, Tristan Pillon et Yves Lallemand sont co-CEO de Reezocar.

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